Mai 2013
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Merci à |  |
| | pour le prêt du matériel. | |
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Après trois années de déclinaisons de son zoom x30, Fujifilm cède lui aussi au doux chant des sirènes "superzoom". Le nouveau flagship de la gamme HS se voit donc ainsi pourvu d'une optique monstrueuse x42, équivalent à un 24-1000mm. Autant dire que les "zoziologues" risquent fort d'être ravis, d'autant que cet objectif est mu par une bague mécanique, dispose d'un stabilisateur optique et d'un nouvel autofocus hybride. Face à un FZ200 très bien implanté sur le marché, notamment grâce à son ouverture constante f/2.8, Fujifilm nous joue une tout autre partition avec son bridge. Saura-t-il faire de l'ombre à Panasonic ? |
|  Caractéristiques |
| Marque |
Fujfilm |
| Type |
Finepix HS50EXR |
| Résolution |
16 Mpixel |
| Type de capteur |
CMOS Rétro-éclairé EXR II |
| Taille du capteur |
1/2 pouces |
| Zoom optique |
Mécanique x42 : 24mm - 1000mm |
| Ouverture |
Glissante - 25 mm : f/2.8-f/11 - 1000mm : f/5.6-f/11 |
| Facteur crop |
5.45 |
| Stabilisation |
Optique |
| Mise au point |
AF Hybride (Phase et contraste) + Manuelle |
| Distance mini de mise au point |
1 cm à 24 mm – 2.5m à 1000mm |
| Flash |
Intégré - Griffe pout flash TTL |
| Modes flash |
Auto, Forcé, Synchro Lente, Yeux rouges |
| Sensibilités |
Auto, 100, 200, 400, 800, 1600, 3200, 6400, 12800 |
| Vitesse obturateur mini |
30s |
| Vitesse obturateur maxi |
1/4000s |
| Rafale |
11 i/s, 7 i/s, 3 i/s (5 images en taille L) - 16 i/s (13 images en taille M ou S) |
| Mesure de l'exposition |
Multizone - Moyenne - Spot |
| Compensation de l'exposition |
"+/-" 2EV par pas de 1/3EV |
| Balance des blancs |
Auto, Lumière du jour, Nuageux, Fluo (3), Manuelle |
| Vidéo |
Resolution maxi : 1920x1080p (FullHD) à 60 i/s - Resolution mini : 320x112 à 480 i/s |
| Images par seconde |
60, 30, 120, 240, 480 |
| Stockage |
SD - SDHC - SDXC - Interne : 25 Mo |
| Viseur électronique (EVF) |
0.26 pouces - 920 000 points - 100% |
| Écran LCD |
Orientable 2 axes - 3 pouces - 920 000 points - 100% |
| Retardateur |
2s - 10s - Detection visage |
| Connectique |
USB 2.0 - Prise HDMI - Prise Micro/Télécommande |
| Format de fichier |
JPEG - RAW |
| Alimentation |
Accumulateur Lithium ion 7.2v-1260mAh - 500 vues (source Fujifilm) |
| Dimensions |
134,9 (L) x 101,3 (H) x 145,9 (P) mm |
| Poids |
808g (avec batterie et carte SD) |
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| | Bundle | - Câble USB,
- Chargeur
- Batterie NP-W126
- CD contenant les logiciels et le manuel utilisateur,
- Mode d'emploi de base,
- Dragonne,
- Bouchon d'objectif,
- Pare-soleil
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| | | Depuis quelques années, Fujifilm inonde régulièrement le segment des bridges. Cette année ne fera pas exception à la règle avec pas moins de 8 appareils annoncés. Un politique marketing douteuse, qui n'aide pas l'utilisateur final à faire son choix.
Mais dans cette profusion de modèles aux caractéristiques très proches, la gamme HS, orientée haut de gamme, continue à se distinguer ; non seulement au sein même des bridges Fujifilm, mais aussi par rapport aux modèles disponibles chez les concurrents. La raison ? Les bridges HS (et X-S1) sont les seuls à proposer une bague de zoom manuelle et une ergonomie plutôt efficace.
Jusqu'ici, Fujifilm s'était contenté de petites évolutions çà et là : un capteur EXR par-ci, un viseur HD par-là, ... Mais le HS50EXR semble avoir été revisité en profondeur.
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| | La première chose qui marque l'esprit, c'est le nouvel objectif : exit le x30 et bienvenue au x42. 24 à 1000 mm ! Voilà de quoi contenter bon nombre d'utilisateurs.
Malgré les 280mm supplémentaires, il conserve la luminosité de son petit frère, à savoir f/2.8 en grand-angle et f/5.6 en télé-objectif. On est loin du f/2.8 constant d'un FZ200, mais ça reste plus lumineux qu'un Nikon P520 qui propose, lui, la même plage focale.
Comme la bague de zoom est mécanique, on voit tout de suite les possibilités phénoménales de cet appareil pour aller chercher immédiatement les focales extrêmes (contrairement à un zoom électrique à qui il va falloir près de 3 secondes pour passer du grand-angle au télé-objectif). Et je ne parle pas de la précision de cadrage, très supérieure aux zooms électriques. |
| | Ce surcoût de focale oblige a utiliser une stabilisation très efficace. Le HS50EXR passe donc à une stabilisation optique (contrairement à ce qui est écrit dans les caractéristiques du site fujifilm.fr) sensée faire gagner quelques vitesses. Nous verrons dans le test si elle est efficace.
Mais ces longues focales peu lumineuses (f/5.6) mettent bien souvent à mal l'autofocus. Généralement, ce dernier utilise la mesure de contraste. Elle est plutôt efficace sur des scènes contrastées mais devient hasardeuse dès que la luminosité baisse. De plus, elle est généralement assez lente (tout est relatif) et fait "pomper" la mise au point.
Fujfilm a décidé de contourner le problème grâce à un autofocus "hybride" qui utilise, selon la situation, le mesure de contraste ou la mesure de phase (comme sur les reflex). Ce système, déjà employé sur le F300EXR en 2010 a été amélioré et remis au goût du jour puisqu'il équipe également les modèles Prémiums sortis cette année. L'autofocus du HS50EXR est tout simplement (selon Fujfilm) le plus rapide du monde. Même si cela peut paraître présomptueux, je ne dévoilerai pas grand-chose du test à venir en vous disant que c'est très certainement le plus rapide que j'ai pu voir sur un bridge !
Cerise sur le gâteau, liée à ce nouvel AF hybride : le HS50EXR propose le Focus Peaking. Ce système d'aide à la mise au point manuelle, fait apparaître en surbrillance, à l'écran ou dans le viseur, les éléments de l'image nets (ou vus comme net par l'AF). Cela permet une mise au point manuelle très précise (enfin sur les HSxx !).
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| | L'ergonomie des bridges Fujfilm a toujours fait partie de mes préférées, notamment à cause des nombreux réglages disponibles immédiatement grâce à des touches de raccourcis.
Sur le HS50EXR, l'implémentation d'un écran mobile sur rotule (plus pratique que l'écran tilt) voit la disparition des boutons situés à gauche de l'écran. Ils sont remplacés par un bouton "Q" d'accès rapide aux réglages et un sélecteur mécanique de mode de mise au point (comme sur un S100FS).
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| | Le HS50EXR reçoit le nouveau capteur EXR CMOS II de 1/2 pouces et 16 Mpixels. Il est un peu plus grand que les capteurs équipant les bridges concurrents. Mais c'était déjà la cas des HS20EXR et HS30EXR sans que la qualité d'image n'en soit réellement impactée. Il propose toujours les modes EXR à géométrie variable lui permettant d'optimiser la dynamique ou le bruit en fonction de la situation. Nous verrons aussi lors du test si ces modes sont réellement efficaces.
Bridge haut de gamme oblige, le format RAW est disponible.
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| | | Le HS50EXR conserve l'évolutivité de son prédécesseur. Il est compatible avec une très large gamme d'accessoires Fujfilm ou autres : flash cobra, filtre, télécommande ou encore micro externe permettront à l'utilisateur de pouvoir compléter son matériel s'il est désireux d'évoluer dans sa pratique photo ou vidéo.
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|  | | Télécommande - RR-80A |
|  | | Micro externe stéréo - MIC-ST1 |
|  | | Filtre de protection - PRF-58 |
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|  | | Flash TTL NG 20 - EF-X20 |
|  | | Flash TTL NG 20 - EF20 |
|  | | Flash TTL NG 42 - EF42 |
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| | | | |  Par rapport au HS30EXR, le HS50EXR a pris de l'embonpoint. Il est légèrement plus gros, mais surtout plus lourd (808 grammes contre 687 grammes pour le HS30EXR). L'optique y est sans doute pour beaucoup puisqu'elle contient 17 lentilles réparties en 12 groupes contre 15 réparties en 11 groupes sur le HS30EXR. Il se situe donc entre le HS35EXR et le X-S1.
Cette "prise de masse" rend la prise en main très agréable. La poignée est particulièrement profonde et le poids renforce l'impression de solidité.
Le HS50EXR est très bien construit et l'ensemble des boutons bien accessibles. |
| Zoom et mise au point |  La bague de zoom manuelle reste l'atout principale de cet appareil. Elle est entourée d'un caoutchouc très large permettant une manipulation aisée. Mais elle "accroche" beaucoup, rendant les zooms saccadés. Un effet qui pourra peut-être s'estomper à l'usage. Ce petit défaut n'est absolument pas gênant en photo, bien au contraire puisque l'optique maintient la focale quel que soit la position de l'appareil (contrairement à ce qui se passe sur le X-S1). Par contre, il peut se révéler particulièrement frustrant en vidéo.
La bague de mise au point manuelle a aussi été améliorée. Elle a toujours posé problème sur les HSxx car, placée trop près du boîtier, son utilisation était gênée par le support du flash intégré. Sur le HS50EXR, sans doute grâce à un objectif plus long, elle a été décalée et tombe juste devant le flash. On peut maintenant la manipuler complètement sans venir buter sur le support du flash.
NOTA : J'ai reçu un nouvel exemplaire du HS50EXR. Sur ce dernier, la bague de zoom est beaucoup plus souple que sur le premier modèle. Elle accroche toujours un peu mais la différence est flagrante et l'utilisation bien plus agréable.
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| Sur le côté gauche du boîtier, un sélecteur mécanique du mode de mise au point fait son apparition, comme sur de S100FS ou le S200EXR il y a quelques années. Mais il est plus discret et mieux intégré au boîtier.
En son centre un bouton permet d'accéder à certains réglages de la mise au point :
- choisir le zone de mise an point lorsque l'AF de Zone est sélectionné,
- activer la loupe d'assistance de mise au point en mise au point manuelle (elle peut également être automatiquement activée si on tourne la bague de MAP),
- activer le "focus peaking" en mise au point manuelle.
Ce nouveau sélecteur s'avère particulièrement pratique à l'usage et permet de "sauter" d'un mode à l'autre très facilement.
Le "focus peaking" rend, enfin, la mise au point manuelle fonctionnelle.
En mode vidéo, la méthode de mise au point est définie par la position du sélecteur avant le démarrage du film :
M : mise au point manuelle via la bague de MAP. Sa souplesse et la bonne définition de l'écran rendent la MAP assez simple. Dommage qu'aucun bouton ne permette de forcer la MAP ponctuellement.
C : mise au point continu pendant tout l'enregistrement
S : mise au point au moment du démarrage de l'enregistrement. Encore une fois, un bouton pour forcer la MAP ponctuellement aurait rendu son utilisation plus souple. |
| LCD |  L'écran LCD du HS50EXR fait partie des gros changements par rapport aux modèles précédents. A l'instar de celui du FZ200 ou d'un Canon SX50HS il devient totalement articulé pour une mobilité totale bien pratique pour les situations de shoot difficiles ou, simplement, l'auto-portrait. Il gagne en définition avec maintenant 920 kpoints. Il devient donc plus lisible, aidé par des angles de vision très ouverts. Mais, bizarrement, il n'est pas "meilleur" que celui du FZ200 qui possède pourtant 2 fois moins de points.
Ce LCD se retourne complètement pour plus de sécurité lors du transport (si on n'oublie pas cette manoeuvre ...).
Le réglage "Ecran Plein Soleil" est toujours disponible. Il permet de mettre au maximum la luminosité de l'écran en une seule fois et de pouvoir revenir au réglage précédent par la même procédure. Ce réglage est activable aisément en maintenant enfoncé le bouton de basculement EVF/LCD.
Les menus restent très "Fuji", avec des réglages quelque fois difficile d'accès. Mais le Q Menu, copié sur celui des modèles Prémium, est une vraie réussite et permet d'accéder en quelques clics à tous les réglages de prise de vue.
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| Viseur |  Le viseur du HS50EXR reprend les caractéristiques de celui du HS30EXR, à savoir une définition de 920 kpoints pour une taille de 0.26". Il a conservé aussi son principal défaut : un manque de contraste rendant la visée "terne". Malgré tout, ceux qui, comme moi, privilégient le viseur (même médiocre) trouveront ici un allié de choix.
Il est bien évidemment équipé d'une correction de la dioptrie et du fameux système "eye-start". Ce système permet un basculement automatique entre l'EVF et le LCD lorsque l'on approche ou que l'on éloigne son oeil du viseur. On peut, bien sûr, forcer l'un ou l'autre à l'aide du bouton EVF/LCD situé à gauche du viseur.
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| Boutons supérieurs | La partie supérieure du HS50EXR est la copie conforme de celle du HS30EXR :
- La molette de navigation des modes qui permet de choisir les différents modes de fonctionnement de l'appareil : modes semi-automatiques (P, A, S), mode manuel (M), mode Utilisateur (C), modes automatiques EXR ou Auto, l'accès à deux modes scènes (SP1/SP2) choisis parmi 13, aux modes avancés (mise au point pro, basse lumière pro, filtres avancés et exposition multiple) et au mode panoramique par balayage.
- Le sélecteur de rafale permet l'accès rapide à tous les modes de prise de vue en rafale. De la rafale "classique" aux modes de "prise de vue optimal" (enregistrement d'images avant le déclenchement) ou les différents modes de bracketing. A noter que pour le bracketing d'exposition, le réglage du pas est directement accessible via cette touche.
Nota : il est vraiment très regrettable que Fujifilm n'est pas copié sur Canon ou Panasonic pour la rafale car, comme sur de nombreux bridges, l'exposition et la mise au point ne sont faites que sur la première image rendant tout suivi "sportif" impossible. Dommage, car avec l'AF hybride, nul doute que l'appareil aurait été capable de très bons résultats.
- Le bouton de décalage de l'exposition qui devient aussi le permutateur ouverture/vitesse en mode M.
- La molette de commande qui permet de régler les différents paramètres (ouverture, vitesse, exposition) mais aussi de naviguer dans ceux du Q Menu ou des modes rafales.
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| Boutons arrières droits |  Le HS50EXR reprend la disposition des touches du HS30EXR. On retrouve donc la touche Menu entourée du trèfle de sélection. Comme sur la plupart des APN, lorsque le menu n'est pas activé, ces touches deviennent des raccourcis : macro, flash, retardateur et une touche d'accès directe programmable. Un seule touche Fn peut paraître peu comparé aux trois touches d'un FZ200 mais, encore une fois, le Q Menu et le sélecteur de MAP permettent de limiter le choix d'affectation aux deux fonctions non disponibles rapidement (parmi les 13 programmables) : le zoom "intelligent" ou l'activation de la détection de visage.
Mais chacun est libre d'y mettre le réglage auquel il souhaite accéder le plus rapidement.
Bien qu'il soit légèrement décalé à côté du viseur, j'inclus le bouton d'enregistrement vidéo dans cette section. |
| Stockage |  Comme sur la majorité des reflex, l'accès au logement de la carte mémoire se fait sur le côté. Un bon point car ça n'est malheureusement pas le cas sur la plupart des bridges, rendant le changement de carte lors de l'utilisation sur trépied ou monopode (avec ou sans plateau rapide) particulièrement pénible.
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| Alimentation & trépied |  Au-dessous de l'appareil, on retrouve le pas de vis pour trépied ainsi que la trappe d'accès à la batterie. On notera que le pas de vis pour trépied n'est pas dans l'axe optique mais décalé, sans doute pour mieux correspondre au centre de gravité du HS50EXR.
La batterie du HS50EXR est une Li-Ion de 1260 mAh pour 7.2v NP-W126. Elle se recharge en 2 heures grâce au chargeur fourni. Elle permet une autonomie très confortable de 500 photos.
Pour plus de polyvalence, une deuxième batterie peut s'avérer utile.
Il n'y a que lors de l'emploi d'un trépied ou d'un monopode que la position de cette trappe peut s'avérer gênante puisqu'elle est alors condamnée ce qui oblige à démonter le pied (ou le plateau rapide) pour changer de batterie.
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| Connectique | Une trappe caoutchoutée située sur le côté gauche de l'appareil cache :
- prise mini-HDMI pour la connexion à un téléviseur haute définition,
- prise USB 2.0 au format propriétaire pour la liaison avec un ordinateur ou une imprimante PictBridge ou la connexion de la télécommande RR-80A.
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| |  Une autre petite trappe cache une prise mini-jack (2.5 mm) permettant la connexion d'un micro externe stéréo (cf les accessoires). |
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| On notera la disparition de la prise AV/Out. Ca n'est pas forcément important puisque le standard HDMI est plus que majoritaire maintenant.
Mais ça m'interdit toute capture de l'écran arrière pour ce test! Dommage.
On notera également le changement de format de la prise USB : l'ancienne télécommande RR-80 n'est donc plus compatible (d'où le A de RR-80A). |
|  | |  | | | Coup de gueule : Ras le bol des changements de format rendant incompatibles les accessoires précédemment acquis. Le mini-USB est le format le plus répandu. Il est petit et facilement intégrable. Pourquoi diable changer pour une prise "exotique"? Sans doute une volonté commerciale ... |
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| Flash |  Le HS50EXR dispose évidemment d'un flash intégré dont la sortie s'effectue grâce à un petit levier sur la gauche du flash. Ce dernier n'est pas automatique et il sera nécessaire d'appuyer sur le bouton dédié pour sortir le flash.
Le flash du HS50EXR reprend l'architecture de celui du X-S1, à savoir qu'il sort « vers l'avant ». Cette particularité permet de gagner quelques précieux millimètres qui éviteront les ombres disgracieuses créées par le proéminent objectif.
Il peut également recevoir un flash externe TTL (cf les accessoires) pour gagner en puissance et en modelage de la lumière (bounce). |
| | | Courbe des ouvertures maximales en fonction de la focale |
| | Courbe des distances minimales de Mise au Point (AF) | | Voici la courbe des distances minimales de mise au point relevées sur le HS50EXR en mode normal et en mode Macro. | |
| Le protocole est simple, je commence collé au sujet et je recule jusqu'à pouvoir faire la MAP plusieurs fois de rang.
Pas de réglages particuliers par ailleurs.
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| La courbe du HS50EXR se rapproche plus de celle du X-S1, très linéaire, que celle du HS30EXR, plutôt de forme exponentielle. Comme pour l'encombrement, le HS50EXR se situe entre les deux : légèrement meilleur qu'un X-S1 mais moins bon qu'un HS30EXR pour la macro.
Cliquez sur la miniature pour voir une comparaison HS50EXR - HS30EXR - X-S1 - FZ200. |  |
| Amplitude du zoom optique + numérique "intelligent" |
Cliquez sur l'image pour agrandir. |
|  | 24mm |
|  | 72mm |
|  | 120mm |
|  | 165mm |
|  | 310mm |
|  | 500mm |
|  | 1000mm |
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